L’honneur du capitaine Barril ne doit pas être bafoué (Par Christian Sébenne). Article repris sur le site "Armée-Média".
L’honneur du capitaine Barril ne doit pas être bafoué (Par Christian Sébenne).
21 juillet 2013 | Classé dans: LA UNE,SOCIETE | Publié par: L'administration 1 620 vues
Christian Sébenne apprend autour du 14 juillet que le Commandant Paul Barril, plus connu sous le nom de Capitaine Paul BARRIL, est poursuivi par plusieurs associations au motif de : Complicité de Génocide, ce, en rapport avec les massacres de 1994 au Rwanda.
Pour mémoire, le Capitaine Paul Barril fut le co-fondateur du GIGN avec le Commandant Prouteau.
Dans un courrier adressé à armee-media, Christian Sébenne relate avoir été entre autres le propriétaire du plus ancien magazine panafricain Africa International, créé en 1958 à Dakar. Son magazine traitait essentiellement de la politique en Afrique. Par ce biais il lui a été donné de suivre le déroulement de nombreuses affaires.
Il précise avoir très bien connu Paul Barril, qui a servi la France et les intérêts de la France. La jalousie humaine a fait en sorte que bien des gens prirent ombrage de sa notoriété et qu’il fut victime de campagnes de malveillances, et dans le genre certains réseaux ne manquent pas de ressources, ajoute t-il.
Christian Sébenne propose à l’attention de nos lecteurs le texte suivant, qu’il a élaboré pour que « l’Honneur d’un Patriote » ne soit pas bafoué une nouvelle fois par des séides qui sont en train de salir et détruire la France.
Vingt ans après…
Le Capitaine Paul Barril accusé de complicité de Génocide
Un double langage ce 14 Juillet pour démolir des Patriotes
À quelques mois de la date qui marqua les événements dramatiques au pays des Mille Collines, les associations suivantes dont la FIDH, la LDH et Survie auraient déposé plainte contre le Capitaine Paul Barril pour complicité de génocide au Rwanda. Ces accusations graves portées à l’encontre d’un officier qui s’est distingué à moult reprises pour des faits de bravoure exceptionnels, ceci vingt ans après les faits incriminés montrent à quel point les représentants de ce pays veulent remettre les pendules à l’heure, mais les pendules de quel pays au fait…? Pour qui, pour quoi et dans quel but…?
Pour mémoire, le 6 avril 1994, l’avion Falcon 50, qui transportait le Président du Rwanda Juvénal Habyarimana de l’ethnie Hutu et son homologue du Burundi voisin le Président Hutu Cyprien Ntaryamira étaient victimes d’un attentat (hypothèse de vidéo montage de l’attentat), celui-ci faisait en tout douze victimes dont l’équipage de l’avion. Ce drame selon les observateurs déclenchait un monumental règlement de comptes dont la Saint Barthélémy fait pâle figure à côté.
Les Etats concernés du Rwanda, du Burundi, de la République Démocratique du Congo et de l’Ouganda forment ensemble une région volcanique appelée communément Pays des Grands Lacs, dont la beauté de ceux-ci font partie de la Genèse de notre Humanité, et leur particularité demeure de détenir la source du Nil.
Le Rwanda est peuplé, était surpeuplé le mot conviendrait mieux, de trois ethnies ; les Hutus à 85 %, les Tutsis de 15 % et une troisième ethnie constituée des Twa, environ 1 %. Pour schématiser, ce pays était sous la domination des Belges qui partant du principe que pour régner il vaut mieux diviser, prirent l’initiative de tirer parti de l’ethnie des Tutsis et décrétèrent celle-ci comme étant la race supérieure désignée pour diriger le pays ; le Peuple Élu d’Afrique était né…!!! L’officialisation du Peuple Élu Tutsi se verra concrétiser planétairement en 1996 à Jérusalem avec Shimon Peres, Tzipi Livni et Benyamin Netanyahou par l’accueil réservé à Paul Kagamé à Yad Vashem .
Autrement dit, pour nous résumer, la population Rwandaise était dirigée par une minorité ; les 15 % de Tutsis dominant l’ethnie des Hutus qui eux représentaient 85 % de la population de ce pays. Ce cliché d’importance reflète relativement le standard mis en place dans bien des pays dans le découpage du monde.
Arrive la vague des indépendances des années 1960, et là, « patatra » changement de décors, la règle dite démocratique inverse la situation ; les 85 % de Hutus majoritaires tentent de faire accéder l’ordre démocratique, mais prennent le pouvoir sur les 15 % de Tutsis, ceux-ci devenant de fait les subalternes de ceux qu’ils avaient dominé pendant des siècles (400 ans).
Autant vous dire que cette pilule amère ne fut jamais, mais jamais digérée par les Tutsis, dès cet instant, tout, absolument tout fut mis en œuvre pour reprendre la main pour le contrôle du pays. Le zénith de cette haine intestine trouvera ni plus ni moins son point culminant lorsque les deux Présidents Hutus ; du Rwanda, Juvénal Habyarimana et son homologue du Burundi voisin le Président Hutu Cyprien Ntaryamira perdirent la vie, alors que l’avion présidentiel à bord duquel ils avaient pris place fut abattu par deux ou trois missiles, lors de sa phase d’approche d’atterrissage à l’aéroport de Kigali. Les jours et les semaines qui suivirent ce drame au cours duquel les deux présidents Hutus du Rwanda et du Burundi venaient d’être exécutés, changèrent irrémédiablement la donne.
Cet assassinat des deux Présidents Hutus (et ce n’est pas rien, deux Présidents) poussait au paroxysme les tensions régnant entre les ethnies, mais plus encore, il faut voir que depuis 400 ans les Hutus avaient vécu sous la férule armée sans pitié des Tutsis, ayant subi déjà tellement d’exactions et d’atrocités dans leur chair se tinrent à peu près ce langage ; « décidément nous ne serons jamais comme tout le monde… » cette réaction malheureusement humaine si on essaie de la comprendre, donna lieu à des massacres de masse, massacres de masse que certaines sources autorisées ou non, dénomment Génocide. Rappelons ici que l’article 35 de la Constitution Française donne les mêmes droits, en cas de manquement grave du pouvoir ; le Droit inaliénable et imprescriptible à la Révolution.
Chacun y allant de sa plume dressera un tableau apocalyptique des événements qui suivirent, faisant en quelques jours près d’un million de morts, la communauté internationale chargeant les Hutus tous désignés de génocidaires ainsi que les troupes Françaises qui bien naturellement furent taxées de complicité de toutes ces atrocités.
Ben voyons donc !!!
Il est si facile de stigmatiser et de juger à des milliers de kilomètres lorsqu’une Presse « aux ordres » acquise aux plans diaboliques du Nouvel Ordre Mondial, qui sous l’égide de son égérie Colette Braekman se mit à donner le « La » et d’aboyer à l’unisson pour désigner le bourreau. Or, à la lumière des révélations des pseudos attentats du WTC du 11 Septembre 2001 à New York et des montagnes de mensonges construits à cet effet par les sionistes, là aussi pour justifier l’injustifiable dans le but unique de voler le pétrole en Irak, il y avait bien évidemment lieu d’y regarder à deux fois.
Il ne m’appartient pas ici de juger les accords de défense ou de coopération militaire comme bon vous semblera de les appeler et qui liaient le Rwanda à la France, mais de comprendre la raison qui pousse à salir invariablement l’armée Française. Or, la guerre souterraine, médiatique et psychologique que livra et livre les Etats-Unis à la France qui déboucha sur les indépendances africaines de 1960, ne fut motivée par l’oncle Sam que par une seule règle et une seule ; « Ote toi de là que je m’y mette », et tous les moyens ont été et sont bons pour retourner l’opinion dans le sens idoine.
Bien des années ont passé, maintenant que la poussière semble s’être estompée, à la lumière de révélations d’officiers Tutsis telles celles du lieutenant Abdul Ruzibiza qui accusa directement Paul Kagamé d’être l’auteur de l’attentat, mais reviendra sur ses dépositions certainement au regard de « pressions… » exercées par le pouvoir Tutsi, et qui confirmera ses premières accusations avant sa mort, mort pour le moins suspecte…? D’autre part, les officiers ; Patrick Karegeya Ancien chef des services de renseignement extérieur du Rwanda, ainsi que le Général Faustin Kayumba Nyamwasa, ils accusent le président Kagamé d’être responsable de l’attentat qui le 6 avril 1994 a coûté la vie au Président Juvénal Kabyarimana et au Président Hutu Cyprien Ntaryamira : « Nous savons d’où les missiles sont partis » !
En aparté, l’une des techniques utilisée pour rendre illisible cette affaire et brouiller les pistes afin que l’opinion ne comprenne rien au problème fut le suivant ; dès lors on voulait charger quelqu’un de tyrannicide ou de génocidaire, le mot Hutu était immanquablement prononcé, mais si l’un, ou plusieurs Tutsis étaient en « difficultés » on n’utilisait jamais le mot Tutsi mais le mot Rwandais, cette subtilité de langage a permis de charger un maximum les Hutus, et le quidam sera toujours maintenu dans l’impossibilité de faire le distinguo. Cet enchaînement du drame du 6 avril 1994 entraina les massacres d’un million de Rwandais.
Or, depuis le 11 septembre 2001, nos voisins américains nous ont tellement surpris, ne reculant devant rien, nous obligent à relire l’histoire alors qu’ils nous demandaient de l’avaler jusqu’à la gerbe. Ces multitudes de mensonges nous font tomber de haut un peu plus chaque jour, qu’il a fallu s’habituer à disséquer, à défragmenter la diarrhée merdiatique qu’il nous était demandé d’ingurgiter.
Par ailleurs, dans cet écheveau, il y a lieu de prendre en compte toutes les données géopolitiques du problème. Les forces militaires partenaires en présence, étant formées des exilés Tutsis de la trilogie ; l’Ouganda de Yoweri Museveni , le Burundi et Rwanda constituant le FPR sous l’autorité de Paul Kagamé. Qui a formé qui…? Les élites militaires Tutsis ayant été formatées par les USA, ce pouvoir sous influence et dans quel but…? Par ailleurs à qui aurait profité le crime…? Si certains y trouvent leur miel, on est en droit de se poser des questions.
La conclusion de ces massacres donnait le jour à une soif de conquêtes mal dissimulées, orchestrées par les « américano-Tutsi » promus en « judéo-Tutsi » depuis l’accord de Yad Vashem en 1996. Ce fait est loin d’être anodin sur la lecture du dossier. Ceci plus cela apporte une certaine forme de lisibilité sur la politique du prosélytisme Tutsi en tant que 14ème tribu d’Israël (la 13ème étant celle des Khazars) qui mit tout en œuvre pour prendre d’assaut le pouvoir au Congo voisin, à l’aide de ses clones de Sayanims infiltrés ; les Banyamulengue. En jetant une nouvelle fois l’opprobre sur Paul Barril, cet abcès de fixation permet de focaliser les animosités et rancœurs sur ce dernier, de donner par ce biais les coudées franche à Paul Kagamé qui peut avec tout ce que la planète comporte comme despérados en mal de pillage de dépecer la République Démocratique du Congo tout en entamant sa partition.
Or, l’interview donnée ce 13 juillet au quotidien argentin La Nacion par le journaliste américain Glenn Greenwald travaillant pour le Guardian, et qui a révélé l’affaire Snowden, affirme que l’ancien consultant de la NSA détiendrait d’autres informations sur le gouvernement américain susceptibles de causer en une minute plus de dommages qu’aucune autre personne n’a jamais pu le faire dans l’histoire des Etats-Unis. En outre, il est très intéressant d’apprendre que des centaines de satellites américains nous observent en continu, ceux-ci peuvent voir un microbe au centimètre près, conséquence de quoi, dès lors, en »rétro-analyse » des films de l’époque, il est d’une facilité enfantine de voir d’où furent tirés les missiles qui abattirent l’avion présidentiel, et d’en conclure qui ou quel parti tirèrent ces roquettes.
Dans un tel contexte, fort des déclarations du Canadien le Général Roméo Dallaire qui mettait en cause l’attitude des Forces Armées Belges, on voit mal comment on peut imputer de tels crimes à fortiori de Génocide au Capitaine Paul Barril, il est vrai que dans cette débauche de « qualificatifs élogieux » contre les Forces Françaises, certains n’ont pas hésité à salir le Colonel Hogard et le Général Didier Tauzin, que seul le double langage d’une noria acquise aux idéaux du Nouvel Ordre Mondial et à la désintégration de la France peuvent justifier de telles attitudes, fallait-il que cette information tomba un 14 Juillet pour démolir des Patriotes… on s’en bouche le nez.
Ces associations supposées défendre les Droits de l’Homme, et si aptes à porter l’estocade feraient bien de balayer devant leur porte à commencer si elles veulent faire œuvre d’une quelconque utilité, de reconnaître un réel génocide qui eut lieu sur le sol de France, si bien occulté que la majorité des Français ne le connaisse pas ; le génocide des Chouans en Vendée de 1793 – 1794. Celui-ci se fit sur les fonds baptismaux de la République Française faisant la bagatelle d’un million de morts, mais cette omission tient peut-être à la responsabilité directe de la République et de ses suppôts. Pace Salute
Christian Sébenne